Page:Mirecourt - Meyerbeer.djvu/91

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

deux écoles rivales, il fut obligé de se créer une école à lui, l’école de Robert-le-Diable, des Huguenots et du Prophète. Il est vrai que cette école tend fraternellement la main à la grande école française.

Meyerbeer n’appartient ni à l’Italie ni à l’Allemagne ; il est à nous, à nous seuls.

Pour nous servir de la belle expression de Méry, le grand compositeur est naturalisé Français par lettre patentes de la gloire.


FIN.