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même ouvrage, sans pouvoir contenter l’impatience des lecteurs.

Jamais romancier n’eut une vogue plus universelle et plus soutenue.

Après Monsieur Dupont, vinrent le Barbier de Paris, — Jean, — la Laitière de Montfermeil, — Sœur Anne, — la Femme, le Mari et l’Amant, — la Maison blanche, — André le Savoyard, — l’Homme de la nature et l’Homme policé, — Madeleine et le Cocu[1], titre au-

  1. Tous les romans dont nous donnons ici la liste ont été publiés par Barba père, de 1816 à 1827. À cette époque, Barba fils conclut avec le romancier un nouveau traité, à des conditions pécuniaires plus fortes, et publia les ouvrages dont les titres suivent : Un bon Enfant, — Zizine, — l’Homme à marier, — le Jeune homme charmant, — le Tourlourou, — Ni jamais ni toujours, — la Pucelle de Belleville, — et les Mœurs parisiennes. Paul de Kock, à l’expiration du traité de Barba fils, ne voulut plus se lier par au-