Page:Mirecourt - Pierre Dupont.djvu/83

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nouvelles, encore inédites, et qui a pour titre le Peseur d’or.

Dupont déclara que son éditeur venait de lui défendre de donner à l’avenir une seule chanson manuscrite sous peine de procès.

— Mes ressources sont là, dit-il, vous comprenez ? Je ne veux pas me fermer la caisse.

La dame parut très-mortifiée de ce refus.

— Il est charmant, votre éditeur ! s’écria-t-elle. Comment le nommez-vous ?

— Vialat.

— Je lui écrirai une lettre de félicitations. Vraiment, c’est fort agréable : j’aurai le Peseur d’or quand les orgues de Barba-