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Page:Mirecourt - Samson, 1854.djvu/11

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vous reconnaisse à coup sûr, mes maîtres.

Or, dans ce cas, il faut payer le peintre, et ce n’est point au peintre à payer. Ceci me paraît dans les limites du droit le plus simple et le plus vulgaire.

À présent, monsieur, comprenez-vous pourquoi j’accepte votre hospitalité ?

Mais ce n’est pas fini. Tous les motifs de mon refus de payement ne vous sont pas connus. Il en est un bien grave, et je le soumets à votre loyale et consciencieuse appréciation.

Supposez que je me résigne à solder ce maudit compte, simple hypothèse !

Eh bien, mon hôte, c’est impossible.