Page:Mirecourt - Samson, 1854.djvu/15

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couler à fond dans le trajet de l’un à l’autre ; cette barque dont les voiles ont été caressées par toute la rose des vents et qui touche à tant de rivages, ne peut entrer que sur ma permission expresse dans mon anse solitaire.

Mais Dieu me préserve d’être ingrat !

J’ouvre pour vous tous les passages, mon cher hôte, et je lève tous les obstacles.

Accourez promptement.

Venez, ô sublime Écossais !  ! venez rendre visite à votre pensionnaire. Je brûle de vous adresser mes félicitations et de vous prodiguer les témoignages de mon inaltérable et profonde estime.

Vous êtes beau, vous êtes généreux,