Page:Mirecourt - Samson, 1854.djvu/93

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trapes sans nombre et de casse-cous éternels.

Il est bon, généreux, rempli de bienveillance ; mais il devient hautain, dur, impitoyable, lorsqu’on attaque ses droits, ou lorsqu’il est victime de quelque intrigue.

Son intérieur est patriarcal.

Madame Samson, femme d’un tact exquis et d’une merveilleuse bonté, entoure son mari de soins et de prévenances. Elle a depuis longtemps quitté le théâtre pour ne s’occuper que du bonheur des siens.

Rachel a trouvé dans cette maison l’accueil le plus désintéressé, le dévouement le plus absolu, l’affection la plus tendre.