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Page:Mithouard - Récital mystique, 1893.djvu/92

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RÉCITAL MYSTIQUE


Il roulait de la guimpe à la traîne,
Gravitant dans un cycle embrasé.
Il glissa sous les pieds de sa reine,
Vous marchâtes sur lui : mon cœur fut écrasé.

Et l’angoisse, en ce temps, fut suprême :
Je poussai dans la fête un grand cri,
Et soudain s’effaça le bal blême
Et cessa de briller l’œil qui m’avait meurtri.