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JOL-HIDDIN, galamment.

Non. Nous sommes braves, mais galants : Vivent les dames !

FÉROSA.
REPRISE DU CHANT DE GUERRE.
––––––Si vers nous l’ennemi jamais
––––––Osait se montrer désormais.
––––––Pour gagner encor la victoire,
––––––C’est vous qui courrez à la gloire.
––––––Tous ensemble serrez vos rangs,
––––––Et marchez en vrais conquérants.
––––––––––Vivent les hommes !
––––––Tirez les glaives du fourreau !
––––––De l’honneur suivez le drapeau.
––––––––––Vivent les hommes !
––––––Et, dignes de vous que nous sommes,
––––––Nous vous crierons dorénavant :
–––––––––––En avant !
––––––Et vous chanterez bravement,
––––––Comme doivent faire des hommes :
–––––––––Au son des clairons,
–––––––––Au bruit des canons,
–––––––––En avant, marchons,
–––––––––Hardis bataillons !
FIN.


Nota. S’adresser, pour la mise en scène complète et détaillée, à MM. BERTIN et Ce, éditeurs de la partition des Géorgiennes, 4 et 65, passage Choisel.


PARIS. IMPR. PAUL DUPONT, 45, RUE DE GRENELLE-SAINT-HONORÉ. (1216.4)