dénaturé.
Calmés vous, bon vieillard. Je vous en supplie calmés vous.
Jamais, jamais ! Le mal est là (il met la main sur son cœur.) Je n’en guerirai pas. (à son fils) Mais avant de t’abandonner à la justice du ciel qui tôt ou tard punit les ingrats… Connois le prix de tout ce que tu perds en ce moment. D’abord un bon pere. Et oui bon ! Mais cette perte est peu pour toi puisque tu l’avois déja sacrifié à ta vanité que je servais moi-même ; car vois jusqu’ou mon amour m’avoit conduit. Dédeignant pour moi les titres les honneurs, la richesse, j’avois rassemblé tous mes moyens pour te rendre possesseur de la superbe terre que j’ai si longtems arrosé de mes sueurs ; je venais de l’acheter en voici le contrat. J’avais tant de plaisir à te l’apporter… Mais me préserve le ciel de te donner le titre qui