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Page:Molière - Édition Louandre, 1910, tome 1.djvu/663

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naturelle. « Parbleu ! Chevalier, tu devrais faire prendre médecine à tes canons.

Brécourt

« Comment ?

Molière

« Ils se portent fort mal.

Brécourt

« Serviteur à la turlupinade !

Mademoiselle Molière

« Mon Dieu ! Madame, que je vous trouve le teint d’une blancheur éblouissante, et les lèvres d’un couleur de feu surprenante !

Mademoiselle du Parc

« Ah ! que dites-vous là, Madame ? ne me regardez point, je suis du dernier laid aujourd’hui.

Mademoiselle Molière

« Eh, Madame, levez un peu votre coiffe.

Mademoiselle du Parc

« Fi ! Je suis épouvantable, vous dis-je, et je me fais peur à moi-même.

Mademoiselle Molière

« Vous êtes si belle !

Mademoiselle du Parc

« Point, point.

Mademoiselle Molière

« Montrez-vous.

Mademoiselle du Parc

« Ah ! fi donc, je vous prie !

Mademoiselle Molière

« De grâce.

Mademoiselle du Parc

« Mon Dieu, non.

Mademoiselle Molière

« Si fait.

Mademoiselle du Parc

« Vous me désespérez.

Mademoiselle Molière

« Un moment.

Mademoiselle du Parc

« Ahy.

Mademoiselle Molière

« Résolument,