Page:Molière - Édition Louandre, 1910, tome 3.djvu/642

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monsieur diafoirus.

Nous venons ici, monsieur,

argan.

Avec beaucoup de joie,

monsieur diafoirus.

Mon fils Thomas et moi,

argan.

L’honneur que vous me faites,

monsieur diafoirus.

Vous témoigner, monsieur,

argan.

Et j’aurois souhaité…

monsieur diafoirus.

Le ravissement où nous sommes…

argan.

De pouvoir aller chez vous…

monsieur diafoirus.

De la grace que vous nous faites…

argan.

Pour vous en assurer.

monsieur diafoirus.

De vouloir bien nous recevoir…

argan.

Mais vous savez, monsieur…

monsieur diafoirus.

Dans l’honneur, monsieur,

argan.

Ce que c’est qu’un pauvre malade,

monsieur diafoirus.

De votre alliance ;

argan.

Qui ne peut faire autre chose…

monsieur diafoirus.

Et vous assurer…

argan.

Que de vous dire ici…

monsieur diafoirus.

Que, dans les choses qui dépendront de notre métier

argan.

Qu’il cherchera toutes les occasions