fermeté… (Il aperçoit Harpagon.) Oui, il faut qu’une fille obéisse à son père. Il ne faut point qu’elle regarde comme un mari est fait ; et, lorsque la grande raison de sans dot s’y rencontre, elle doit être prête à prendre tout ce qu’on lui donne.
Bon ! Voilà bien parlé, cela.
Monsieur, je vous demande pardon, Si je m’emporte un peu et prends la hardiesse de lui parler comme je fais.
Comment ! J’en suis ravi, et je veux que tu prennes sur elle un pouvoir absolu. Oui, tu as beau fuir, je lui donne l’autorité que le ciel me donne sur toi, et j’entends que tu fasses tout ce qu’il te dira.
Après cela, résistez à mes remontrances ! Monsieur, je vais la suivre pour lui continuer les leçons que je lui faisais.
Oui, tu m obligeras. Certes…
Il est bon de lui tenir un peu la bride haute.