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Page:Momas (Fuckwell), Débauchées précoces, 1900.djvu/150

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ma chambre, nous verrons si tu n’as pas peur !

Elle le suivit sans aucune hésitation, avec un air tout à fait décidé, et là il reprit :

— Allons, ma mignonne, nous allons recommencer, déshabille-toi, comme hier, et, si tu n’as pas peur, tu iras à ton lit, tu m’y attendras ; je jugerai à la réception que tu me feras si vraiment tu ne mens pas et si tu es une petite femme.

En un instant elle fut entièrement nue, et lui se dévêtissant en même temps, elle dit en se dirigeant vers sa chambre :

— Si je m’effraye, porte ta canne, tu me battras encore, comme tu as fait hier.

Il restait pétrifié devant cette attitude ! À peine était-elle sur son lit qu’il l’avait déjà rejointe et, comme la veille, en vrai fauve, il se précipita sur elle.

Mais elle avait les cuisses ouvertes, elle s’arrangeait, elle se prêtait de son mieux et elle répondait à l’attaque. Il