Page:Momas (Fuckwell), Débauchées précoces, 1900.djvu/54

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— Ce que tu mouilles bien !

Il achevait à l’aise son éjaculation ; il lui repassa le mouchoir, elle se nettoya avec la même sérénité que la première fois, ressortit le flacon de lubin, s’en réimbiba les chairs, et souriante, dit :

— Et si tu mouillais en dedans, comment je le nettoierais ?

— Avec de l’eau parfumée.

— Il n’y en a pas ici : ça resterait dans mon cucu, ou dans le devant ; où, ça ferait l’effet d’un lavement, et alors…

Elle partit d’un grand éclat de rire et ajouta :

— Oh, le vilain, il voulait m’obliger à faire caca devant lui !

Elle était mignonne au possible dans l’arrangement de sa chemise dans son exclamation, il l’attira pour l’embrasser, et comme il n’avait pas encore enfermé sa queue, elle crut qu’il allait recommencer, se troussa en s’écriant :

— Tu veux encore mouiller ?

— Non, non, plus tard, reviens sur moi que je sente tes chairs et ta chaleur.

— C’est toi qui brûles !

Célestin ne se rendait pas compte du