Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/103

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— Faites-vous le salut de reconnaissance, tu jugeras de ses dispositions.

Se tournant vers Balbyne, elle lui dit :

— Tu n’as qu’à imiter.

L’abbé s’avança près de Balbyne, s’inclina en un salut demi-respectueux, qu’elle rendit ; il souleva sa soutane et montra sa queue hors de la culotte. Balbyne se troussa par devant, releva la chemise sous le pantalon, exhiba ses cuisses et son ventre. L’abbé lui posa un doigt sur le clitoris, elle posa la main sur sa queue. Ils restèrent ainsi une seconde, puis l’abbé se recula, se remit en posture décente, et tapotant les joues de la jeune fille, dit :

— Je vais lui donner sa carte de pose, elle fera bien dans notre petite légion.

— Rien de nouveau par ailleurs ?

— Si : nous avons trois priekeurs de plus.

— Le nombre augmente.

— Oh, il est bien inférieur à celui des priekeuses. On éprouve de la difficulté à trouver des hommes assez sérieux, assez discrets et surtout assez maîtres d’eux, pour ne pas abuser d’une jeune fille et se con-