Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/116

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avons donné les moyens de se reconnaître entre priekeurs et priekeuses, le bonheur est pour vous comme pour nous.

Parler, on n’en avait pas le temps ; les scènes se multipliaient et Béron agenouillé soulevant la chemise de Balbyne, la contemplait avec délices et la pelotait avec dévotion, avant de lui darder des coups de langue.

Elle s’échauffait et de son pied nu s’amusait à le souffleter, en disant :

— Dis, tu te montreras aussi et je te tripoterai à mon tour.

Simone apparut en petit jupon, sautillant et riant, les seins hors de la chemise, poursuivie par Paul Séroulan, la queue à la main, la menaçant de lui envoyer dans le cou le jet de son sperme, si elle ne s’arrêtait pas.

Passant près de Balbyne, debout, avec la tête de Béron entre ses cuisses, commençant à la délecter de minettes, elle lui dit :

— Ne t’attarde pas trop aux plaisirs, cours plutôt avec moi, voir et être vue.

Balbyne voulut s’échapper, Béron la retint par les jambes, en murmurant :