Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/135

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— Mon enfant, dit l’abbé Tisse, levez-vous et déshabillez-vous, nous venons vous inspecter avant de vous recevoir au baptême.

Droite, rougissant devant tant d’hommes, dont la queue la saluait, elle maîtrisa son embarras et dégrafa son corsage.

Un des hommes accompagnant l’abbé (tous des prêtres), la poussa vers le milieu de la pièce, et elle se vit entourée sans qu’un mot troublât le silence.

À mesure qu’elle quittait un vêtement, l’un des hommes se baissait, le ramassait et le posait au pied du lit.

Elle se trouva en chemise.

— Balbyne, dit à ce moment l’abbé Tisse, avant de découvrir tes charmes féminins, regarde bien toutes ces queues masculines. Pas une, qui, si elle entrait en toi, n’y déposerait la semence de reproduction et ne te rendrait mère. Tous aspirent ta beauté qu’ils devinent ou connaissent, tous respecteront ta virginité. Es-tu bien décidée à leur donner les autres joies de la volupté, pour qu’ils t’enivrent de leurs félicités.