Page:Momas - Association de demi-vierges, tome 2.djvu/82

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les priekeuses. Veuillez donc, Monsieur mon oncle, vous déboutonner le pantalon et m’exhiber ce qu’il cache.

— Ne l’as-tu pas déjà vu ?

— Pas assez, puisque je vous le demande.

— Je suis priekeur, il est vrai, mais je suis aussi ton oncle, et à ce titre, je te supplie de commencer par t’alléger de tes voiles.

— Soit, j’y consens ! Servez-moi de femme de chambre.

— Volontiers.

Comme il l’avait débarrassée de sa robe, elle lui glissa la main dans la culotte, s’empara de sa queue et dit :

— Vous êtes l’ami d’Issitus, mais vous valez mieux, je l’avais compris.

— Tu compares déjà ?

— Je constate, je n’ai pas à comparer. Je cherche le plaisir.

— Mutine et gentille, que d’adorations sous tes pas !

— L’avez-vous dit souvent aux autres ?

— Dam, je ne refuse jamais quand on me requiert.