Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/106

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Oui… Tu t’es bien branlée quelquefois ?

Au lieu de répondre, Georgette se suspendit au cou d’Hélène, en s’écriant :

— Oh ! comme ça me chatouille !…

Le vieux, en effet, passant sa main sous les fesses de l’enfant, s’occupait d’agiter le petit trou vierge…

— Laisse faire le monsieur, dit Hélène, tu verras comme c’est bon…

La petite se laissait faire en effet, agréablement chatouillée par l’extraordinaire vieillard, remuant gentiment les fesses, en serrant la courtisane contre ses petits seins, à peine soulevés…

Mais Hélène avait soif de jouissances…

Elle posa ses deux bras sur les épaules de Georgette, et, par une énergique pression, contraignit l’enfant à poser sa brune tête sur son ventre nu…

La petite embrassait le con de la courtisane, très rieuse, très amusée…