Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/29

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corps… Mon mari frétillait très agréablement, et son membre, rencontré dans les hasards d’un pelotage effréné, me parut d’une dureté de bon aloi… Cependant mon époux ne paraissait pas satisfait entièrement… Je lui présentai mon ventre nu, et ses mains, au lieu de s’égarer dans l’intersection de mes cuisses, patinaient toujours mes hanches rebondies, cherchant à se glisser sous mes fesses… Je me soulevai un peu, très heureuse, je t’assure, de me sentir tout à coup énergiquement tâtée dans cet endroit intime… Je m’enhardis à mon tour, et je me rendis compte de la chaleur de mon mari… Le drôle était très raide, je te l’assure, mais paraissait prendre un plaisir tout particulier, à frôler son membre contre mes hanches… Tout d’un coup, je lui tournai le dos, posant maintenant mes fesses sur son ventre… Alors, je poussai un cri de terreur… Son membre s’enfonçait dans la fente de mon cul, cherchant à pénétrer