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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/48

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ment… Tu sais ce que tu auras à faire, hein ?…

— Oui, madame…

En un tour de mains, la paysanne se fut mise complètement nue, et elle s’occupa d’ajuster au bas de son ventre rebondi un godmiché, d’une longueur et d’une dimension extraordinaires…

Pendant ce temps, Suzanne avait fait placer Hélène en travers le lit…

Celui-ci, bas et large comme tous les lits modernes, semblait pouvoir donner asile à tout un escadron… Suzanne se plaça entre les jambes de sa compagne, écartant largement les cuisses et présentant ses fesses à la paysanne, qui les couvrit de son ventre, enfonçant ainsi au fin fond du con de sa maîtresse l’énorme godmiché…

Ce fut dans cette inénarrable position, que la jouissance vint encore une fois s’emparer des deux jeunes femmes… Et, lorsque, lasse, épuisée, inondée de foutre, Hélène, les