Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/80

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pattes sur le bord du sopha, ma mignonne, fit-elle, en l’y plaçant et en appliquant sur les rondeurs d’amoureuses petites tapes… Maintenant, M. Raoul, prenez-la en levrette…

Raoul exécuta le mouvement et lorsqu’il eut enfoncé son dard dans le tabernacle du plaisir, Suzanne s’écria…

— Diable ne poussez point encore ! nous partirons ensemble !

Sur les conseils de sa maîtresse, le Russe se glissa entre les cuisses des deux amants, de façon à ce que ses mains pussent s’égarer sur les beaux seins d’Hélène…

Debout, et les cuisses largement écartées, Suzanne se plaça derrière Raoul, dont elle pelotait les fesses d’une main, tandis que, de l’autre, elle s’enfonçait la verge du Russe dans le vagin…

Bientôt, le foutre coula à longs flots, et rien ne peut donner une idée des soupirs et