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Page:Momas - Voluptés bizarres, 1893.djvu/84

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fesses de mes petits camarades… Mais je ne voulais rien avouer de ma passion ; cependant un jour…

— Quoi donc ?

— Nous étions en vacance… En compagnie de mon cousin Jules, je regardai des photographies étranges, que mon grand frère n’avait pas eu le temps de ramasser, et dont la vue enflamma mes sens, à ce point, que si j’avais été seul, je me fusse certainement branlé en les regardant. Sur ces entrefaites, mon cousin eut envie d’aller aux cabinets… Je l’y suivis… Le siège, soigneusement ciré des cabinets, se trouvait placé au-dessous d’une fenêtre, aux vitres barbouillées de peinture blanche, et qui donnait sur la cour intérieure de la maison que nous habitions… Quand je vis mon petit cousin grimper sur le siège, le pantalon baissé, je ne pus me défendre de bander très fort, et, dirigeant mes regards vers l’intersection de ses cuisses, je m’aperçus qu’il maintenait son dard avec