Depuis plus d’un siecle la rivalite des_Carthàginois et Anzmcs gm smic.
, "des Syracusains appelait sur la belle _terre de Sicile les
ravages de la guerre. Chacun des belligerants combattait · `
7 et par les armes, et par la propagande politique. Carthage
. avait noue desintrigues avec Vopposition aristocratique
.·et républicaine dans Syracuse; les dynastes syracusains ,
. s’entendaient avecle parti§?n_ational -dans les villes grec-
ques tributaires de Carthdge.__Chacun des adversaires
. avait son armee de mercenaires;__A>gat/zecle et Tirnoléoni i
,i pour mener leurs guerres, louaient des soldats, aussi
bien que les generaux pheniciens. Et comme des deux
côtes on luttait par les memes moyens; des deux côtes
aussi .la lutte·’l'ut entachee de_manquements‘à l’l10nneur ’ I
` I et de perlidies sans ekemplejnsque-là dans l’histoire de ·
A l”Occident. A lapaiic de 440,, Carthage s’etait contentee sur tw. 1.-c. T
du tiers de raiaà imam cruzmm et d·H¢mçm Mem ;
i elle avait formellement reconnulliégemonie de Syra- ·
A cuse surtou tes _les cités de l’est. Pyrrhus chasse de Sicile i ’
\et d’ltalie (479);,V la plus grande moitie de l’île et l’im— È75. _
—· portante place ’d"Àgi·igente etaient resteesdans les mains ·