Page:Monavon - À Théophile Gautier, paru dans L’Entr’acte lyonnais, 28 mars 1869.djvu/4

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Glissent vers toi, portés sur l’aile du caprice…
Ah ! sans doute tu prends pur Muse inspiratrice
Une blanche Péri, fille de l’Orient !
Ton œuvre est un printemps baigné de poésie…
Ivre d’accords, ta lyre au rhythme séducteur
Enferme dans ses flancs, comme un oiseau chanteur
Rival du bengali, l’heureuse fantaisie !…


Gabriel Monavon.