Page:Monavon - Le Chansonnier à Lisette, paru dans La Muse Gauloise, 1864.djvu/4

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Gaiment tu folâtrais !…
Amour, tous tes secrets,
Alors je les savais ;
Comme tu m’inspirais
Pour chanter ma Lisette !

Mais j’ai vu s’enfuir ce délire.
Qui jadis enflammait ma voix,
Et j’ai senti s’éteindre sur ma lyre
Les chants d’amour qui naissaient sous mes doigts.