Page:Monavon - Voix du soir, paru dans L’Entr’acte lyonnais, 29 août 1869.djvu/5

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C’est moi qui pour me faire entendre,
Ô belle ! viens ainsi gémir
Dans la brise au murmure tendre
Et dans l’onde au plaintif soupir…
Cette voix du soir qui t’est chère,
Ces accents au charme vainqueur,
Je les emprunte pour te plaire
Et parler d’amour à ton cœur.


Gabriel Monavon.