Page:Monneron - Poésies, 1852.djvu/62

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Redescendre au néant ! Oh non ! plus de blasphème !
Mon souvenir du ciel est un gage qu’il m’aime.
Croyez-en les regrets !…………………………

Et si l’esprit divin, dévoilant sa prunelle,
Peignit l’azur des cieux sur la nuit éternelle,
Dans la nuit de mon ame un seul regard d’amour
Suffira pour verser la lumière et le jour.


Avril, 1835.