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Page:Monselet - Charles Monselet, sa vie, son œuvre, 1892.djvu/321

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BIBLIOGRAPHIE




Livres amoncelés

1.Marie et Ferdinand. — Poème dédié à la Famille Royale.

Bordeaux, 1842. Ch. Lawalle, éditeur, Allées de Tourny, 52. Imprimerie de Cruzel, rue des Ayres, 13. Une brochure gr. in-8o de 24 pages. Prix : 1 fr.

Début littéraire de l’auteur :

« … Ce n’est pas sans une certaine appréhension que j’ai rouvert ce poème composé à l’âge de dix-sept ans et qui a pour sujet la mort de la princesse Marie et du duc d’Orléans. J’ai souri à quelques passages ; en somme, pourtant, cela se tient, comme on dit… Ainsi donc, il ne serait pas impossible, du moins par la date, de rattacher l’auteur de Marie et Ferdinand à l’école romantique. Qui l’aurait dit !…

» Charles Monselet. »


2.Victor Hugo. — Analyse en vers des Burgraves. (Sans nom d’auteur.)

Bordeaux, 1843. (Extrait du Courrier de la Gironde du 21 mars 1843.) Imprimerie de P. Faye, Fossés de l’Intendance, 15. Une brochure gr. in-8o.

« … En reproduisant cette analyse ou plutôt cette parodie des Burgraves, il est loin de notre pensée de nous mettre à la suite des détracteurs de M. Victor Hugo. C’est évidemment un homme d’esprit, qui a fait ce compte rendu des Burgraves, que nous empruntons au Courrier de la Gironde, et quelle que soit notre admiration pour M. Victor Hugo, lorsque la critique revêt des formes aussi spirituellement adoucies, nous ne nous trouvons nullement blessés dans notre conscience littéraire en les reproduisant… » (Feuilleton du journal la Guienne du 25 mars 1843.)