Quelques-uns de nos confrères en littérature ont pris le parti d’annoncer eux-mêmes leurs productions en en déterminant le prix, — modique, hélas !
C’est ainsi qu’on peut lire dans le dernier numéro de la Chronique de la Société des gens de lettres, devenue une succursale des Petites Affiches :
Voyages et tribulations d’un lavement, depuis le siècle de Louis XIV jusqu’à l’invasion prussienne de 1870, roman humoristique d’environ 16,000 lignes (en collaboration avec feu Charles Rabou).
Encore du même :
Les Amours d’un épicier parisien, roman comique d’environ 10,000 lignes, à 10 centimes la ligne.
Passe pour les Amours d’un épicier, mais l’Histoire d’un lavement me paraît d’un placement difficile. Quel journal osera la publier ? À coup sûr ce ne sera point un journal de dames,