Aller au contenu

Page:Monselet - Fréron, 1864.djvu/46

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

suis une araignée. Les trois règnes y passeront.

Favart. — J’espérais que les comédiens auraient eu la pudeur de faire des suppressions dans la pièce imprimée.

Fréron. — Que vous ne les connaissez guère ! Ils y auraient ajouté plutôt.

(Les mêmes transports accompagnent la fin du deuxième acte.)

La Grisette des troisièmes. — Ah ! quel homme abominable que ce M. Wasp ! Je ne pourrai plus passer devant les écrivains du Charnier sans penser à lui.

La Tante. — Se peut-il qu’on ait voulu représenter le locataire de M. Lelièvre ?

Le Chirurgien. — Oui, madame, je vous l’affirme, et encore les traits sont-ils beaucoup adoucis. — Mais j’entends la voix du limonadier ; permettez‑moi de vous offrir, ainsi qu’à votre charmante nièce, un verre de limonade.

La Tante. — C’est trop d’honnêteté, monsieur Gervais.

Chevrier, dans le parterre. — Eh bien !