Page:Monselet - Les Aveux d’un pamphlétaire, 1854.djvu/87

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Le jour, j’avais un grand parc, où, quand je me promenais, les paysans me saluaient avec reconnaissance. Le soir, j’avais un grand foyer réjouissant et flamboyant ; j’étais assis dans le fauteuil qui avait servi à mon père, et, à mon tour, en me penchant à droite, je pouvais dire : Ma fille ! et en me penchant à gauche : Mon fils !

— Dis donc, La Morlière, voilà une table de passe-dix qui se forme, et l’on va jouer le petit écu.