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notes et variantes

tonneaux surmontés d’une sorte de dais à rideaux. Le poëte est assis ; il tient une coupe en forme de calice de la main droite, et un pilon de volaille ou un os de jambon de la gauche. Ce qu’il y a de singulier, c’est que la table, qui est couverte d’une nappe, et où l’on voit entre autres choses un couteau et un vase à deux anses, est une tabula au sens strict ; elle n’a pas de pieds et est posée sur les genoux du trouvère, dont la robe presque monacale est mi-partie à dextre de vert, et à senestre d’une couleur brun jaunâtre très-claire (Cf. la miniature de présentation et celle du fol. 144 vo).


LXXIII. — Des .III. Dames de Paris, p. 145.

Le ms. de l’Arsenal porte dans la nouvelle numérotation le no 3525.


Publié par M. Aug. Scheler, Dits de Watriquet de Couvin, 381-390.


Vers 3 — Les noms de ces trouvères ne nous sont pas autrement connus.

10-11 — Le jour de l’Épiphanie. — La légende raconte que les rois mages vinrent à Cologne. La cathédrale possède encore une chapelle qui leur est consacrée.

18 — Tous les noms de ce fabliau, qui s’appliquaient sans doute à des personnages de l’époque, ne nous disent rien aujourd’hui. La date (1320) est à remarquer.

22 — sans, lisez sanz.

42 — absous, lisez absouls.

47 — L’enseigne de taverne « des Maillez », que nous rencontrons ici, est à noter.

48 — * li ; ms., le.