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du troisième volume

394 — A, Fu bons mestres et. B, Fu il bons mire.


Ce fabliau, dont Molière dans son Médecin malgré lui a imité la première partie, qu’il avait sans doute empruntée à une farce italienne, Arlecchino medico volante, se retrouve dans la 10e et la 30e serée de Bouchet. La première partie existe dans la littérature populaire de la Russie, sans doute venant de notre fabliau (Cf. Hist. litt., XXIII, 197), et tout dernièrement le journal le Figaro (27 mai 1877) rééditait une version de ce pays. Le Pogge, dans ses Facéties, a fait revivre la seconde partie de l’histoire, celle où le médecin guérit les malades par la peur.


LXXV. — La Plantez, p. 170.

Notre texte est établi d’après la copie de la Bibliothèque nationale (coll. Moreau, 1720, Mouchet, 46), que nous désignons par M.


Publié par Méon, Nouveau Recueil, I, 338-342 ; par Renouard dans Legrand d’Aussy, I, app. 28-30 ; et par M. Paul Meyer, Recueil d’anciens textes, 350-352 ; traduit par Legrand d’Aussy, I, 337-339, sous le titre de « Le Bachelier normand ».


Vers 3 — Nous avons à choisir entre deux dates pour la prise d’Acre, 1191 par les chrétiens, et 1291 par les musulmans.

6 — * Dont. M, Don.

9 — * Ne à. M, N’a.

10 — * maaille. M, maille.

15 — * orgoillos. M, orgoilleus.

18 — * Trestote. M, Trestot.

26 et 114 — * Normanz. M, Normant.