n certain nombre des lecteurs de ces Fabliaux ont bien voulu exprimer le regret que les indications de manuscrits et d’éditions, le relevé des variantes et les renvois sommaires aux contes analogues, antérieurs ou postérieurs, dussent être renvoyés à la fin du Recueil. J’avais pris ce parti parce que des variantes sont un peu comme une table, plus faciles à consulter et à mettre en face du texte quand elles sont réunies en un seul endroit et qu’elles se trouvent dans un volume différent ; mais, comme le parti de les publier à mesure a l’avantage de les donner plus tôt et de mettre tout de suite le lecteur à même de juger, en pleine connaissance de cause, du soin avec lequel les manuscrits sont collationnés et des corrections qu’on a pu être forcé d’y faire, j’ai d’autant plus déféré à ce désir que des rapports de cette nature, entre l’édi-