Publié par Barbazan, II, 78 ; par Méon, III, 215-220 ; et traduit par Legrand d’Aussy, III, 81-84, sous le titre de « l’Enfant qui fondit au soleil ».
Vers 95 — « Agraine » peut être le nom de l’enfant ; mais on pourrait aussi lire : à graine (contre du blé). Seulement il faudrait ajouter un pronom au vers, et proposer comme lecture : Li preudon l’a changié à graine.
97 — « Alixandre », « Alexandrie » (en Égypte).
124 — La fin du vers manque dans le ms.
145 — meffette, lisez mesfette.
146 — meffez, lisez mesfez.
Ce fabliau a été souvent imité : Cf Sansovino (journ. IX, nouv. 6), les Facétieuses journées, les Cent Nouvelles nouvelles (nouv. XIX), les Novelle de Malespini, les Contes de Grécourt, etc.
Publié par Barbazan, II, 86 ; par Méon, III, 220-229 ; et donné en extrait par Legrand d’Aussy, IV, 192-195. — Ce fabliau a pour auteur Haisiau (Hist. littéraire, XXIII, 134).
Vers 84 — li, lisez le.
140 — courant, lisez corant.
212 — aimé, lisez amé.
233 — Chiez, lisez Chiés.
249 — changiez, lisez chancgiez.