104 — lembel. B, musel ; cf. plus bas v. 131.
105 — B, Or le lairoumes de la dame.
107 — B, Si rediroumes de celui.
109 — fu meneis. B, est remés.
110 — on le fist. B, le fait on.
111 — Se ilh ne sout. B, S’il ne set bien.
112 — prent, B, prist.
113 — Sovent regratoit. B, Il huce et crie.
114 — B, K’il avoit molt souëf nourie.
115-116 — Ces vers sont remplacés dans B :
Por Diu qu’il li viegnent aidier,
Mais ce ne puet nus souhaidier.
117 — Et si huce. B, Puis apele.
118 — qu’il tant avoit. B, k’il avoit molt.
125 — B, Ains est de l’andoille pendant.
126 — B, U les plusors vont atendant.
128 — soi reblanchoie. B, se retifete.
129 — B, Si fait gausnir son molekin. Cette leçon donne un sens au vers du ms. A, qu’il faut corriger comme M. Scheler : Et fait janir ses molekins.
130 — redresse, lisez redrece. — B, Et relieve son raviekin.
131 — Le vers de A, que nous avions corrigé du tout au tout pour lui donner un sens, se lisait ainsi : Et fait cos muscas à corez ; la leçon de B, Si refait musiax à toretes, nous indique qu’il fallait lire : Et fait ces musias à torez. Pour le sens de ce vers il faut se reporter au vers 104, où nous voyons figurer déjà le mot musel, qui semble être le nom d’une parure (peut-être d’une coiffure) de femme. Au vers 104 la femme maudit sa toilette de veuve ; au vers 131, alors qu’elle se pare, elle se hâte de refaire sa parure (ses museaux) à toretes, c’est-à-dire avec des tours (peut-être des frisures).