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du troisième volume

194 — B, Elle l’acole et se le bayse.

195 — El. B, Puys.

197 — B, Elle s’escrie à aute.

199 — B, Messires a son vit trové. — Après ce vers s’arrête le ms. B, auquel il manque un feuillet.

208 — Gauvain, l’écuyer du roi Arthur, est ordinairement, dans les romans de la Table ronde, considéré comme le type du parfait chevalier. (Cf. le Mantel mautaillié.)


Nous retrouvons une imitation de ce conte dans l’histoire que raconte le bouffon dans le Xe chant du Mambriano de Francesco Bello, dit l’Aveugle de Ferrare. Quant à l’autre imitation que cite Legrand d’Aussy (Sedaine, Pièces fugitives, 138-141), elle n’est que bien lointaine.


LXIV. — Des .III. Meschines, p. 76.

Publié par Barbazan, III, 142, et par Méon, III, 446-451.


Vers 3 — « Brilli », que nous n’avons pu identifier, est certainement tout près de Rouen, comme le prouve la facilité avec laquelle une des meschines se rend à la grande ville et en revient.

15 — Ces noms de trouvères nous sont inconnus.

16 — « Buesemoncel ». Nous ne pouvons identifier ce nom de lieu, non plus que Brilli.

100 — * pissier ; ms., pissiez.