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Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t1.djvu/520

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TABLE ANALYTIQUE


mahométan, L. 23. — Sont d’une création inférieure à l’homme, L. 24. — Comparaison de celles de France avec celles de Perse, L. 26, 34. — Est-il plus avantageux de leur ôter la liberté que de la leur laisser ? L. 38. — La loi naturelle les soumet-elle aux hommes ? ibid. — Il y en a en France dont la vertu seule est un gardien aussi sévère que les eunuques qui gardent les Orientales, L. 48. — Elles voudraient toujours qu’on les crût jeunes, L. 52. — Portrait de celles qui sont vertueuses, L. 55. — Le jeu n’est, chez elles, qu’un prétexte dans la jeunesse ; c’est une passion dans un âge plus avancé, L. 56. — Moyens qu’elles ont, dans les différents âges, pour ruiner leurs maris, ibid. — Leur pluralité sauve de leur empire, ibid. — Elles sont l’instrument animé de la félicité des hommes, L. 62. — On ne peut les bien connaître qu’en fréquentant celles de l’Europe, L. 63. — C’est par leurs mains que passent toutes les grâces de la cour, et à leur sollicitation que se font les injustices, L. 107.— Importance et difficulté du rôle d’une jolie femme, L. 110. — Sa plus grande peine n’est pas de se divertir ; c’est de le paraître, ibid. — Voyez Françaises, Orientales, Persanes, ROXANE.

Femmes jaunes du Visapour. — Font l’ornement des sérails de l’Asie, L. 96.

Fermiers généraux. — Portrait de l’un d’entre eux, L. 48.

Filles de joie. — Il y en a beaucoup en Europe, L. 57. — Leur commerce ne remplit pas l’objet du mariage, L. 116.

Finances. — Elles sont réduites en système dans l’Europe, L. 138.

Financiers. — Leur portrait ; leurs richesses, L. 98.

FLAMMEL (Nicolas). — Passe pour avoir trouvé la pierre philosophale, L. 45.

Fondateurs des empires. — Ont presque tous ignoré les arts, L. 105.

Forme judiciaire. — Elle fait autant de ravages que la forme de la médecine, L. 100.

France (le roi de) est un grand magicien, L. 24.

France — Les peuples qui l’habitent sont partagés en trois états, qui se méprisent mutuellement, L. 44. — On n’y élève jamais ceux qui ont vieilli dans les emplois subalternes, L. 48. — On s’y est mal trouvé d’avoir fatigué les huguenots, L. 60. — Il y arrive de fréquentes révolutions dans la fortune des sujets, L. 98. — C’est un des plus puissants États de l’Europe, L. 102. — Depuis quand les rois y ont pris des gardes, ibid. — La présence seule de ses rois donne la grâce aux criminels, ibid. — Le nombre de ses habitants n’est rien en comparaison de ceux de l’ancienne Gaule, L. 112. — Sa guerre avec l’Espagne, sous la régence, L. 126. Révolutions de l’autorité de ses rois, L. 136.

François. — Vivacité de leur démarche, opposée à la gravité orientale, L. 24. — Leur vanité est la source des richesses de leurs rois, ibid. — Ne sont pas indignes de l’estime des étrangers, L. 48. — Raisons pour lesquelles ils ne parlent presque jamais de leurs femmes, L. 55. — Sort des maris jaloux parmi eux ; il y en a peu ;