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Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t1.djvu/530

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TABLE ANALYTIQUE


et la paresse font leur caractère, ibid. — Leur jalousie ; bornes ridicules qu’y met leur dévotion, ibid. — Leur attachement pour l’inquisition et pour les pratiques superstitieuses, ibid. — Sont un exemple capable de corriger les princes de la fureur des conquêtes lointaines, L. 121. — La douceur de leur domination dans les Indes leur a fait perdre presque toutes leurs conquêtes, ibid.

Poudre. — Depuis son invention, il n’y a plus de places imprenables, L. 105. — Son invention a abrégé les guerres, et rendu les batailles moins sanglantes, L. 106.

Pratiques monacales et superstitieuses. — Sont des hérésies, L.78.

Préjugés. — Contribuent ou nuisent à la population, L. 119.

Prescience. — Elle paraît incompatible avec la justice divine, L. 69.

Prestiges. — Y en a-t-il ? L. 143.

Prêtres. — Sont respectables dans toutes les religions. L. 93.

Procédure. — Ses ravages, L. 100.

Protestantisme. — Plus favorable à la propagation que le catholicisme, L. 117.

Puissance paternelle. — C’est un des établissements les plus utiles, L. 129.

Pureté légale. — Il semble qu’elle devrait plutôt être fixée par les sens que par la religion, L. 17.

Purgatif violent, L. 143.


Q


Q. — Voyez Université.

QUESNEL (le père), L. 143.

Quiétistes. — Ce que c’est, L. 134.

Quinze-Vingts, L. 32.


R


Rat. — Pourquoi immonde, suivant la tradition musulmane, L. 18.

RAYMON LULLE. — A cherché inutilement la pierre philosophale, L. 45.

Recueil de bons mots. — Leur usage, L. 54.

Régence. — Ses commencements, L. 138.

Régent.— Voyez PHILIPPE D’ORLÉANS.

Religion. — Dieu impute-t-il aux hommes de ne pas pratiquer celle qu’ils sont dans l’impossibilité morale de connaître, L. 35. — La charité et l’humanité en sont les premières lois, L. 46. — Dieu ne l’a établie que pour rendre les hommes heureux, ibid. — Il faut distinguer le zèle pour ses progrès d’avec l’attachement qu’on lui doit, L. 60. — Il semble qu’elle est, chez les chrétiens, plutôt un sujet de dispute que de sanctification, L. 75. — Il y en a, parmi eux, dont la foi dépend des circonstances, ibid.

Religions. — Leur grand nombre embarrasse ceux qui cherchent la vraie ; prière singulière sur ce sujet, L. 46. — Leur multiplicité dans un état est-elle utile ? Elles prêchent toutes la soumission, L. 85. — Différentes béatitudes qu’elles promettent, L. 125.

Religion chrétienne. — Elle n’est pas favorable à la population, L. 116. — Juive. Est la mère du christianisme et du mahométisme, L. 60. — Embrasse le monde entier et tous les temps, ibid. — Mahomètane. Défavorable à la population, L. 114.— Des anciens