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TABLE DES MATIÈRES.

après les guerres puniques, ibid.

ATTILA. Soumet tout le nord, et rend les deux empires tributaires, 280. Si ce fut par modération qu’il laissa subsister les Romains, ibid. Dans quel asservissement il tenait les deux empires, ibid. et suiv. Son portrait, 281. Son union avec Genseric, 284.

Avares (les) attaquent l’empire d’Orient, 299.

AUGUSTE. Surnom d’Octave, 222. Commence à établir une forme de gouvernement nouvelle, ibid. Ses motifs secrets et le plan de son gouvernement, 223. Parallèle de sa conduite avec celle de César, ibid. S’il a jamais eu véritablement le dessein de se démettre de l’empire, 224. Parallèle d’Auguste et de Sylla, ibidem. Est très-réservé à accorder le droit de bourgeoisie, 220. Met un gouverneur et une garnison dans Rome, 227. Assigne des fonds pour le payement des troupes de terre et de mer, ibid. Avait ôté au peuple la puissance de faire des lois, 231.

AUGUSTIN (saint). Réfute la lettre de Symmaque, 279.

Autorité. Il n’en est pas de plus absolue que celle d’un prince qui succède à une république, 240 et suiv.

B

BAJAZET. Manque la conquête de l’empire d’Orient : par quelle raison, 326.

Baléares (les). Étaient estimés d’excellents frondeurs, 132.

Barbares. Devenus redoutables aux Romains, 258-282. Incursions de Barbares sur les terres de l’empire romain, sous Gallus, 258 ; et sur celui d’Allemagne, qui lui a succédé. 258. Rome les repousse, 259. Leurs irruptions sous Constantius, 266. Les empereurs les éloignent quelquefois avec de l’argent, 270. Épuisaient ainsi les richesses des Romains, 271. Employés dans les armées romaines à titre d’auxiliaires, 272. Ne veulent pas se soumettre à la discipline romaine, 276. Obtiennent, en Occident, des terres aux extrémités de l’empire, 285. Auraient pu devenir Romains, ibid. S’entre-détruisent la plupart, 287. En devenant chrétiens, embrassent l’arianisme, 288. Leur politique, leurs mœurs, ibid. Différentes manières de combattre des diverses nations barbares, 278-289. Ce ne furent pas les plus forts qui firent les meilleurs établissements, 289. Une fois établis, en devenaient moins redoutables, 288.

BARLAAM et ACYNDINE. Leur querelle contre les moines grecs, 309.

BASILE (l’empereur). Laisse perdre la Sicile par sa faute, 311.

BASILE PORPHYROGÉNÈTE. Extinction de la puissance des Arabes en Perse sous son règne, 321.

Batailles navales. Dépendent plus, à présent, des gens de mer que des soldats, 146.

Bataille perdue. Plus funeste par le découragement qu’elle occasionne que par la perte réelle qu’elle cause, 147.

BAUDOUIN, comte de Flandres. Couronné empereur par les Latins, 322.

BÉLISAIRE. A quoi il attribue ses succès, 289. Débarque en Afrique pour attaquer les Vandales, n’ayant que cinq mille soldats, 290. Ses