Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t2.djvu/450

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
434
TABLE DES MATIÈRES.

COMNÈNE. Voyez ANDRONIC, ALEXIS, JEAN, MANUEL.

Conquêtes. Celles des Romains lentes dans les commencements, mais continues, 123. Plus difficiles à conserver qu’à faire, 149.

Conjuration contre César, 210.

Conjurations. Fréquentes dans les commencements du règne d’Auguste, 211. Devenues plus difficiles qu’elles ne l’étaient chez les anciens : pourquoi, 303.

CONSTANT, petit-fils d’Héraclius par Constantin. Tué en Sicile, 300.

CONSTANTIN. Transporte le siège de l’empire en Orient, 203. Distribue du bled à Constantinople et à Rome, 264. Retire les légions romaines, placées sur les frontières, dans l’intérieur des provinces : suite de cette innovation, 266.

CONSTANTIN, fils d’Heraclius. Empoisonné, 300.

CONSTANTIN LE BARBU, fils de Constant. Succède à son père, ibid.

Constantinople. Ainsi nommée du nom de Constantin, 263. Divisée en deux factions, 293. Pouvoir immense de ses patriarches, 312. Se soutenait, sous les derniers empereurs grecs, par son commerce, 319. Prise par les croisés, 325. Reprise par les Grecs, ibid. Son commerce ruiné, 326.

CONSTANTIUS. Envoie Julien dans les Gaules, 267.

Consuls annuels. Leur établissement à Rome, 119.

CORIOLAN. Sur quel ton le sénat traite avec lui, 147.

Courage guerrier. Sa définition, 131.

Croisades, 321 et suiv.

Croisés. Font la guerre aux Grecs et couronnent empereur le comte de Flandres, 323. Possèdent Constantinople pendant soixante ans, 324.

Cynocéphales (journée des). Où Philippe est vaincu par les Étoliens unis aux Romains, 155.

D

Danoises (troupes de terre). Presque toujours battues par celles de Suède, depuis près de deux siècles, 273.

Danse. Chez les Romains, n’était point un exercice étranger à l’art militaire, 128.

Décadence de la grandeur romaine. Ses causes, 188 et suiv. I. Les guerres dans les pays lointains. 188. II. La concession du droit de bourgeoisie romaine à tous les alliés, 189-190. III. L’insuffisance de ses lois dans son état de grandeur, 193. IV. Dépravation des mœurs, 195 et suiv. V. L’abolition des triomphes, 225. VI. Invasion des barbares dans l’empire, 258-282. VII. Troupes de Barbares auxiliaires incorporées en trop grand nombre dans les armées romaines, 272. Comparaison des causes générales de la grandeur de Rome avec celles de sa décadence, 273.

Décadence de Rome. Imputée par les chrétiens aux païens, et par ceux-ci aux chrétiens, 278 et suiv.

Décemvirs. Préjudiciables à l’agrandissement de Rome, 124.

Deniers. Distribués par les triomphateurs, 242.

Dénombrement des habitants de Rome. Comparé avec celui qui fut fait par Démétrius de ceux d’Athènes, 135. On en infère quelles étaient, lors de ces dénombrements, les forces de l’une et l’autre ville, ibid.