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Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/423

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ET ALPHABÉTIQUE.


cieux dans les républiques, VII, 3. Pourquoi les femmes y étoient si sages, VII, 9. Son gouvernement fédératif est ce qui la fit fleurir si longtemps, IX, 1. Ce qui fut cause de sa perte, IX, 2. On n’y pouroit souffrir le gouvernement d’un seul, XVIII, 1. Belle description de ses richesses, de son commerce, de ses arts, de sa réputation, des biens qu’elle recevoit de l’univers, et de ceux qu’elle lui faisoit, XXI, 7. Etoit pleine de petits peuples, et regorgeoit d’habitants, avant les Romains, XXIII, 18. Pourquoi la galanterie de chevalerie ne s’y est point introduite, XXVIII, 22. Sa constitution demandoit que l’on punit ceux qui ne prenoient pas de parti dans les séditions, XXIX, 3. Vice dans son droit des gens : il étoit abominable, et étoit la source de lois abominables : XXIX, 14. On n’y puoissoit pas le suicide par les mème motifs qu’à Rome, XXIX, 9 On y punissoit le receleur comme le voleur : cela étoit Juste en Grèce ; cela est injuste en France ; pourquoi, XXIX, 12.

Grecs. Leurs politiques avoient des idées bien plus nettes sur le principe de la démocratie que ceux d’aujourd’hui, III. 3. Combien ont fait d’efforts pour diriger l’éducation du côté de la vertu, IV, 6. Regardoient le commerce comme indigne d’un citoyen, IV, 8. La nature de leurs occupations leur rendoit la musique nécessaire, ibid, La crainte des Perses maintint leurs lois, VIII, 5. Pourquoi se croyoient libres du temps de Cicéron, XI, 2. Quel étoit leur gouvernement dans les temps héroïques, XI, 11. Ne surent jamais quelle est la vraie fonction du prince : cette ignorance leur fit chasser tous leurs rois, ibid. Ce qu’ils appelloient police, ibid. Combien il falloit de voix, chez eux, pour condamner un accusé, XII, 3. D’où venoit leur penchant pour le crime contre nature, XII, 6. La trop grande sévérité avec laquelle ils punissoient les tyrans occasionna, chez eux, beaucoup de révolutions, XII, 18. La lèpre leur étoit inconnue, XIV, 11. Loi sage qu’ils avoient établie en faveur des esclaves, XV, 17. Pourquoi leurs navires alloient plus vite que ceux des Indes, XXI, 6. Leur commerce avant et depuis Alexandre, XXI, 7, 8 et 9. — avant Homère, XXI, 7. Pourquoi firent le commerce des Indes avant les Perses, qui en étoient bien plus à portée, XXI, 8. Leur commerce aux Indes n’étoit pas si étendu, mais plus facile que le nôtre, XXI, 9. Leurs colonies, XXI, 12. Pourquoi estimoient plus les troupes de terre que celles de mer, XXI, 13. Loi qu’ils imposèrent aux Perses, XXI, 21. Leurs différentes constitutions sur la propagation, suivant le plus grand ou le plus petit nombre d’habitants, XXIII, 17. N'auroient pas commis les massacres et les ravages qu’on leur reproche, s’ils eussent été chrétiens, XXIV, 3. Leurs prêtres d’Apollon jouissoient d’une paix éternelle : sagesse de ce règlement religieux, XXIV, 16. Comment, dans le temps de leur barbarie, ils employèrent la religion pour arrêter les meurtres, XXIV, 18. L’idée des asiles devoit leur venir plus naturellement qu’aux autres peuples ; ils restreignirent