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Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/436

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TABLE ANALYTIQUE


double service dont les vassaux étoient tenus dans les commencements de la monarchie, XXX, 18. L’auteur, pour nous conduire, comme par la main, à leur origine, entre dans le détail de la nature de celles qui étoient en usage chez les Germains, et chez les peuples sortis de la Germanie pour conquérir l'empire romain, ibid. Ce qu’on appelloit ainsi du temps de nos pères, XXX, 20. D’où vient le principe qui dit qu’elles sont patrimoniales en France, ibid. Ne tirent point leur origine des affranchissements que les rois et les seigneurs firent de leurs serfs, ni de l’usurpation des seigneurs sur les droits de la couronne : preuves, ibid. Comment et dans quel temps les églises commencèrent à en posséder, XXX, 21. Étoient établies avant la fin de la seconde race, XXX, 22. Où trouve-t-on la preuve, au défaut des contrats originaires de concession, qu’elles étoient originairement attachées aux fiefs, ibid.

JUSTINIEN. Maux qu’il causa à l’empire, en faisant la fonction de juge, VI, 5. Pourquoi le tribunal qu’il établit chez les Laziens leur parut insupportable, XIX, 2. Coup qu’il porta à la propagation, XXIII, 21. A-t-il raison d’appeler barbare le droit qu’ont les mâles de succéder au préjudice des filles ? XXVI, 6. En permettant au mari de reprendre sa femme, condamnée pour adultère, songea plus à la religion qu’à la pureté des mœurs, XXVI, 9. Avoit trop en vue l’indissolubilité du mariage, en abrogeant une loi de Constantin touchant celui des femmes qui se remarient pendant l’absence de leur mari, dont elles n’ont point de nouvelles, ibid. En permettant le divorce pour entrer en religion, s’éloignoit entièrement des principes des lois civiles, ibid. S’est trompé sur la nature des testaments per œs et libram, XXV11, 1. Contre l’esprit de toutes les anciennes lois, accorda aux mères la succession de leurs enfants, ibid. Ôta jusqu’au moindre vestige du droit ancien touchant les successions : il crut suivre la nature, et se trompa, en écartant ce qu’il appela les embarras de l’ancienne jurisprudence, ibid. Temps de la publication de son code, XXVIII, 42. Comment son droit fut apporté en France : autorité qu’on lui attribua dans les différentes provinces, ibid. Époques de la découverte de son Digeste : ce qui en résulta : changements qu’il opéra dans les tribunaux, ibid. Loi inutile de ce prince, XXIX, 16. Sa compilation n’est pas faite avec assez de choix, XXIX, 17. Voyez Novelles.


K


Kan des Tartares. Comment il est proclamé : ce qu’il devient quand il est vaincu, XVIII, 19.

Kur ou Kour. C’est le seul fleuve, en Perse, qui soit navigable, XXIV, 20.


L


Lacédémone. Sur quel original les lois de cette république aboient été copiées, IV, 6. La sagesse de