chose que des délateurs et des
traîtres, XXVI, 11. L’ordre de succession
à la couronne y doit être
fixé, XXVI, 16. On y doit encourager
les mariages, et par les
richesses que les femmes peuvent
donner, et par l’espérance des
successions qu’elles peuvent procurer,
XXVII, 1. On y doit punir
ceux qui prennent parti dans les
séditions, XXIX, 3.
Monarchie élective. Doit être soutenue par un corps aristocratique, XI, 13. C’est aux lois politiques et civiles à y décider dans quel cas la raison veut que la couronne soit déférée aux enfants, ou à d’autres, XXVI, 6. Celle de France l’étoit sous la seconde race, XXXI, 17.
Monarque. Comment doit gouverner. Quelle doit être la règle de ses volontés, II, 4, III, 2. Ce qui arrête le monarque qui marche au despotisme, II, 4. L’honneur met des bornes à sa puissance, III, 10. Son pouvoir dans le fonds, est le même que celui du despote, ibid. Est plus heureux qu’un despote, V, 12. Ne doit récompenser ses sujets qu’en honneurs qui conduisent à la fortune, V, 18. Ne peut être juge des crimes de ses sujets, VI. 5. Il doit interdire le pouvoir de juger à ses ministres, et le réserver aux magistrats, ibid. Quand il enfreint les lois, il travaille pour les séditieux contre lui-même, ibid. Combien la clémence lui est utile, VI, 21. Ce qu’il doit éviter pour gouverner sagement et heureusement, VIII, 6. C’est un crime de lèse-majesté contre lui que de changer son pouvoir de nature, en le rendant immense, et en détruisant par là sa sûreté, VIII, 7. En quoi consiste sa puissance, et ce qu’il doit faire pour la conserver, IX, 6. Il faut un monarque dans un état vraiment libre, XI, 6. Comment, dans un état libre, il doit prendre part à la puissance législative, ibid. Les anciens n’ont imaginé que de faux moyens pour tempérer son pouvoir, XI, 9 et 10. Quelle est sa vraie fonction, XI, 11. Il a toujours plus l’esprit de probité que les commissaires qu’il nomme pour juger ses sujets, XII, 22. Bonheur des bons monarques : pour l’être, ils n’ont qu’à laisser les lois dans leur force, XII, 23. On ne s’en prend jamais à lui des calamités publiques ; on les impute aux gens corrompus qui l’obsèdent, ibid. Comment doit manier sa puissance, XII, 25. Doit encourager, et les lois doivent menacer, ibid. Doit être accessible, ibid. Ses mœurs : description admirable de la conduite qu’il doit tenir avec ses sujets, XII, 27. Égards qu’il doit à ses sujets, XII, 28.
Monastères. Comment entretenoîent la paresse en Angleterre : leur destruction a contribué à établir l’esprit de commerce et d’industrie, XXIII, 29. Ceux qui vendent leurs fonds à vie, ou qui font des emprunts à vie, jouent contre le peuple, mais tiennent la banque contre lui : le moindre bon sens fait voir que cela ne doit pas être permis, XXV, 6.
Monde physique. Ne subsiste que parce que ses lois sont invariables, I, 2. Mieux gouverné que le monde intelligent : pourquoi, ibid.
MONLUC (Jean de). Auteur du registre Olim, XXVIII, 29.
Monnoie. Est, comme les figures de géométrie, un signe certain que le pays où l’on en trouve est habité