Aller au contenu

Page:Montesquieu - Œuvres complètes, éd. Laboulaye, t6.djvu/517

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
501
ET ALPHABÉTIQUE.


V, 15. C’est dans l’Évangile, et non dans les rêveries des scolastiques qu’il faut puiser les règles, XXI, 20. Pourquoi le prix en diminua de moitié, lors de la découverte de l’Amérique, XXII, 6. Il ne faut pas la confondre avec l’intérêt, elle s’introduit nécessairement dans les pays où il est défendu de prêter à intérêt, XXII, 19. Pourquoi l’usure maritime est plus forte que l’autre, XXII, 20. Ce qui l’a introduite, et comme naturalisée à Rome, XXII, 21. Son taux, dans les différents temps de la république romaine ; ravages qu’elle fit, ibid. Sur quelle maxime elle fut réglée à Borne, après la destruction de la république, XXII, 22. Justification de l’auteur, par rapport à ses sentiments sur cette matière, D. article Usure, — par rapport à l’érudition, ibid. Usage des Romains sur cette matière, ibid.

Usurpateurs. Ne peuvent réussir dans une république fédérative, IX, 1.


V


Vaisseaux. Voyez Navires.

VALENTINIEN. Appela les petits enfants à la succession de leur aïeul maternel, XXVII, 1. La conduite d’Arbogaste, envers cet empereur, est un exemple du génie de la nation françoise, par rapport aux maires du palais, XXXI, 4.

VALETTE (le duc de la). Condamné par Louis XIII en personne, VI, 5.

Valeur réciproque de l’argent, et des choses qu’il signifie, XXII, 2. L’argent en a deux, l’une positive et l’autre relative : manière de fixer la relative, XXII, 10.

Valeur d’un homme en Angleterre, XXIII, 18.

VALOIS (M. de). Erreur de cet auteur sur la noblesse des Francs, XXX, 25.

VAMBA. Son histoire prouve que la loi romaine avoit plus d’autorité dans la Gaule méridionale que la loi gothe, XXVIII, 7.

Vanité. Augmente à proportion du nombre des hommes qui vivent ensemble, VII, 1. Est très-utile dans une nation, XIX, 9. Les biens qu’elle fait, comparés avec les maux que cause l’orgueil, ibid.

Vandales. Leurs ravages, XXII, 4.

VARUS. Pourquoi son tribunal parut insupportable aux Germains, XIX, 2.

Vassaux. Leur devoir étoit de combattre et de juger, XXVIII, 27. Pourquoi n’avoient pas toujours, dans leurs justices, la même jurisprudence que dans les justices royales, ou même dans celles de leurs seigneurs suzerains, XXVIII, 29. Les Chartres des vassaux de la couronne sont une des sources de nos coutumes de France, XXVIII, 45. Il y en avoit chez les Germains, quoiqu’il n’y eût point de fief : comment cela, XXX, 3. Différents noms sous lesquels ils sont désignés dans les anciens monuments, XXXI, 16. Leur origine, ibid. N’étoient pas comptés au nombre des hommes libres, dans les commencements de la monarchie, XXX, 17. Menoient autrefois les arrière-vassaux à la guerre, ibid. On en distinguoit de trois sortes : par qui ils étoient menés à la guerre, ibid. Ceux du roi étoient soumis à la correction du comte