Page:Montesquieu - Mélanges inédits, 1892.djvu/327

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NOTES

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Page 4, ligne 4. — Il semble qu’il faudrait : aux héros, au lieu de : au héros, que donne le manuscrit.

Page 7, ligne 12. — Dans le manuscrit, tout un alinéa sur les exploits militaires de Cicéron est biffé à la suite de celui qui se termine par les mots ôter mille vies.

Page 8, ligne 9. — Les paroles que Montesquieu met ici dans la bouche de Cicéron sont une traduction très libre de la dernière moitié du chapitre x de la Seconde Philippique.

Page 8, ligne 25. — Voyez la Seconde Philippique, chapitre xii.

Page 9, ligne 16. — Cette expression est empruntée à Horace : Odes, I, xii, v. 47.

Page 10, ligne 28. — Dans la description du manuscrit, nous avons dit que l’alinéa qui commence à cette ligne est d’une encre plus pâle et d’une écriture plus grosse et plus penchée que le reste du Discours. L’écriture est celle de la note qui se trouve au commencement de l’ouvrage, et où l’auteur parle de sa jeunesse au passé. L’alinéa a donc été ajouté par Montesquieu lorsqu’il était dans l’âge mûr.

Page 10, ligne 29. — C’est de Sénèque le rhéteur qu’il s’agit dans ce passage, dont le tour rappelle celui du texte original.

Page 11, note 1. — Il faudrait : Dix-septième, au lieu de : Septième Controverse.

Page 16, ligne 11. — On lit, dans le manuscrit, à la suite des mots être le portrait, un passage biffé et ainsi conçu : « De me voir forcé par le choix d’une illustre académie de recevoir la loi d’un sujet que je me serois choisi moi-même. »

Page 20, ligne 4. — Nous rétablissons l’alinéa qui commence ici, bien qu’il soit biffé dans le manuscrit, afin de ne pas interrompre la suite des idées. Montesquieu avait eu, d’abord, l'intention de citer le vers d’Ovide :

Nomen amicitia est, nomen inane fides.
(Artis amatoriœ Liber I, v. 740 )