Page:Montesquieu - Pensées et Fragments inédits, t2, 1901.djvu/563

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Page 148, note 1.— Montesquieu vise-t-il ici le passage d’Ammien-Marcellin: Histoire, liv. XXX, chap. 1l, n° 18?

Page 149, ligne 10. — L’article Du Portugal, dont Montesquieu a biffé soigneusement plusieurs passages, semble avoir été d’abord une lettre fictive, car il commençait ainsi: « Je devrois rester ici bien longtemps : je ne trouve que des gens plus laids que moi. >

Page 150, ligne 15. — Les mots qu’elles n’ayent ont été ajoutés après coup et d’une main étrangère.

Page 151, lignes 3 et 4. — Il y avait d’abord: « méprisoient; après qu’elles n’y entendent rien, elles. >

Page 151, lignes 18 à 20. — Voyez ci-dessus, page 107, note 1.

Page 153, ligne 3. — Il y avait d’abord veut, au lieu de prétend.

Page 153, ligne 7.— Louis-Georges-Érasme, marquis de Contades, né en 1704 et mort en 1793, devint maréchal de France, en 1758, et perdit la bataille de Minden, en 1759.

Page 154, lignes 2 et 3.— Il y avait d’abord: « étonnés des plaisirs que les ministres. »

Page 155, ligne 23.— Montesquieu a corrigé et récrit de sa main, entre les lignes, tout l’article qui suit.

Page 157,ligne 14.— Montesquieu avait ajouté d’abord: «la françoise, que l’italienne. »

Page 157, note 1. — Voyez les Mélanges inédits de Montesquieu, page 147.

Page 158, lignes 11 à 15.— Montesquieu, visant peut-être l’alin. 26 du chap. xx1 1 des Considérations, a mis en marge de cet article: « Mis cela dans les Romains. >

Page 159, ligne 7. — Montesquieu avait mis d’abord foi, au lieu de symbole.

Page 159, lignes 25 et 26. — Les mots de religieux ont été ajoutés après coup.

Page 160, lignes 4 à 6. — Voyez ci-dessus, tome Ier, page 260.

Page 160, ligne 25. — Cette phrase a été ajoutée après coup par Montesquieu lui-même.

Page 163, note 1. — Voyez les Considérations sur la Grandeur des Romains, chap. xx11, alin. 24.

Page 165, ligne 5. — C’est pour Marie-Anne, demoiselle de Clermont (1697-1741), fille de Louis III, prince de Condé, que Montesquieu écrivit (dit-on) Le Temple de Gnide.

Page 165, ligne 11. — Jacques, comte de Waldegrave (mort en 1741), était petit-fils, par sa mère, de Jacques II, roi d’Angleterre,