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TABLE

mais interdit aux nobles, I. 112. II. 262 & suiv. Est nécessairement très-borné dans un état despotique, II. 130. Est-il diminué par le trop grand nombre d’habitans dans la capitale ? I. 196. Causes & économie de celui d’Angleterre, II. 226, 227. Adoucit & corrompt les mœurs, II. 238, 239. Est opposé au brigandage ; mais il entretient l’esprit d’intérêt, II. 239. Entretient la paix avec les nations ; mais n’entretient pas l’union entre les particuliers, II. 239, 240. A du rapport avec la constitution du gouvernement, II. 242 & suiv. Il y en a de deux sortes ; celui de luxe & celui d’économie, ibid. Pourquoi Marseille est devenue commerçante ; le commerce est la source de toutes les vertus de cette république, II. 245, 246. Esprit de l’Angleterre sur le commerce, II. 248, 249. Avec quelles nations il est avantageux de le faire, II. 249, 250. On ne doit, sans de grandes raisons, exclure aucune nation de son commerce, II. 250, 251. Il ne faut pas confondre la liberté du commerce avec celle du commerçant : celle du commerçant est fort gênée dans les états libres, & fort étendue dans les états soumis à un pouvoir absolu ; & vice versâ, II. 253, 254. Quel en est l’objet, II. 254, 255. La liberté en est détruite par les douanes, quand elles sont affermées, ibid. Des lois qui emportent la confiscation des marchandises, II. 256. Il est bon que la contrainte par corps ait lieu dans les affaires qui le concernent, II. 257, 258. Des lois qui en établissent la sureté, II. 257 & suiv. Des juges pour le commerce, II. 259, 260. Dans les villes où il est établi, il faut beaucoup de lois & peu de juges, II. 260. Il ne doit point être fait pour le prince, II. 261, 262. Celui des Portugais & des Castillans dans les Indes orientales fut ruiné quand leurs princes s’en emparerent, II. 262. Il est avantageux aux nations qui n’ont besoin de rien, & onéreux à celles qui ont besoin de tout, II. 266 & suiv. Rend utiles les choses superflues ; & les choses utiles nécessaires, II. 269. Considéré dans les révolutions qu’il a eues dans le monde, II. 270 & suiv. Pourquoi, malgré les révolutions auxquelles il est sujet, sa