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DES MATIERES.

jourd’hui, I. 41. Combien on fait d’efforts pour diriger l’éducation du côté de la vertu, I. 70. Regardoient le commerce comme indigne d’un citoyen, I. 78. La nature de leurs occupations leur rendoit la musique nécessaire, I. 79, 80. La crainte des Perses maintint leurs lois, I. 234. Pourquoi se croyoient libres du temps de Cicéron, I. 307. Quel étoit leur gouvernement dans les temps héroïques, I. 340 & suiv. Ne surent jamais quelle est la vraie fonction du prince : cette ignorance leur fit chasser tous leurs rois, I. 341, 342. Ce qu’ils appelloient police, I. 342. Combien il falloit de voix chez eux pour condamner un accusé, I. 383. D’où venoit leur penchant pour le crime contre nature, I. 392. La trop grande sévérité avec laquelle ils punissoient les tyrans, occasionna chez eux beaucoup de révolutions, I. 411. La lepre leur étoit inconnue, II. 49. Loi sage qu’ils avoient établie en faveur des esclaves, II. 88. Pourquoi leurs navires étoient plus vites que ceux des Indes, II. 285, 286. Leur commerce avant & depuis Alexandre, II. 287 & suiv. 298 & suiv. – avant Homère, II. 291, 292. Pourquoi firent le commerce des Indes avant les Perses qui en étoient bien plus à portée, II. 193 & suiv. Leur commerce aux Indes n’étoit pas si étendu, mais plus facile que le nôtre, II. 308. Leurs colonies, II. 324. Pourquoi estimoient plus les troupes de terre que celles de mer, II. 326, 327. Loi qu’ils imposerent aux Perses, II. 350. Leurs différentes constitutions sur la propagation, suivant le plus grand ou le plus petit nombre d’habitans, III. 84 & suiv. N’auroient pas commis les massacres & les ravages qu’on leur reproche, s’ils eussent été chrétiens, III. 229. Leurs prêtres d’Apollon jouissoient d’une paix éternelle : sagesse de ce réglement religieux, III. 146. Comment, dans le temps de leur barbarie, ils employerent la religion pour arrêter les meurtres, III. 148, 149. L’idée des asiles devoit leur venir plus naturellement qu’aux autres peuples ; ils restreignirent d’abord l’usage qu’ils en firent dans de justes bornes ; mais ils les laisserent devenir abusifs & pernicieux, III. 167, 168.